Lycée Miyagawa [IMVU RP]
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Renaissance.

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Renaissance. Empty Renaissance.

Message par Ayame Nagazaki Mer 5 Mar - 0:38

Après avoir eu une altercation violente pendant son meeting la ou elle devait rencontrer les 11 autres dirigeants des lycées Oméga, la directrice était revenus au lycée Miyagawa plus qu'amochée. Hayden ayant vus ça en a profité pour approcher la directrice. Prise d'une crise de folie elle finit par essayer de le tuer mais s'arrête in extremis s'envoyant elle même dans une faille spatio-temporelle pour éviter ça.

*Le corps plaqué contre le sol elle avait sombré dans un sommeil agité. Elle se rappelait. Parce que c’était le moment ou ses souvenirs venaient frapper à la porte de son crâne. Le moment ou tout ce qu’elle avait accumulé décidait de sortir dans un flot énorme d’immondice qu’a pu être sa vie. Pourtant, le souvenir qui prenait place en ce moment même dans sa tête n’était pas si désagréable que ça tout compte fait. Elle était là. Dans les bras de sa directrice. Ayame devait avoir 18ans. Peut-être plus. Mais pas moins, parce qu’avant ça, elle ne pouvait tout simplement pas voir sa directrice en peinture. Alors que la. Elle était dans ses bras, la câlinant. La directrice lui disait des mots apaisants. Ayame se sentait aimée. Et d’ailleurs, c’est la seule personne qu’elle ait aimé avec un amour si pure. Et après tout ce qui c’était passé. Les pensées noires là où elle voyait son père… Hayden ce pauvre Hayden qui voulait l’aider… Elle avait laissé le « démon » en elle prendre le contrôle. La part sombre, celle qui avait faites exploser son père. Cette part n’était autre que la folie et les séquelles dû aux coups qu’elle c’était prise par son géniteur, ou dû à la mort violente de sa mère. Un mélange de tout ça en faites. Et en ce moment, elle avait le droit aux bras de la femme de sa vie. Avait-elle eu droit au paradis après la mort ? Elle qui pensait que l’enfer l’attendait. Qu’après tout le mal qu’elle ait pu faire elle se retrouverait à cramer avec tous les enfoirés qu’elle avait tué. Qu’elle irait revoir son père, avant de rencontrer Satan lui-même et de le faire descendre de son trône le provoquant en duel, lui demandant de la laisser voir sa mère. De lui hurler qu’elle voulait le paradis. Mais en faites non. Elle n’en avait même pas besoin. En fin de compte elle avait atterri au paradis c’est vrai que sa mère n’était pas là. Mais elle était dans les bras de cette femme aux orbes bleus si profonds, des orbes qui faisaient battre le cœur d’Ayame, qui faisaient rougir ses joues comme jamais personne n’avait réussi à le faire auparavant. Elle brulait, et avait toujours brulé d’amour pour sa directrice. Ce n’était bien sûr pas un coup de foudre. Elle l’avait haït. Pour son sadisme, pour sa violence, pour son masque neutre. Pour tout ce qu’elle était, pour tout ce qu’elle représentait. Sa puissance lui faisait peur. La seul première personne qui fût capable de faire trembler Ayame de peur après la mort de son géniteur. Mais pourtant, la haine a une si mince frontière avec l’amour. Une frontière qu’elle avait dépassée sans même s’en rendre compte au fil des années. Il lui avait fallu pas moins de trois ans pour que ça change. Elle n’avait pas souvent vue sa directrice. Et quand elle la voyait cette dernière la rabaissait plus bas que terre soit parce qu’elle avait cassé quelque chose, soit parce qu’elle avait mis un de ses camarades à l’hôpital. La directrice aurait pu l’exécuter. Elle en avait le droit, Ayame était instable. Mais elle ne l’avait pas fait. Parce que la vérité c’est que la directrice aimait son élève, elle l’aimait pour ce qu’elle était, pour ce côté torturé et farouche. Tellement repoussant, mais pourtant tellement attractif. La directrice voulait tout de la jeune fille. Son admiration, son amour, son corps, son âme. Elle voulait tout simplement qu’elle soit à elle. Pouvoir la gouter quand elle le voulait. Et c’est comme ça qu’elle avait commencé. D’abord elle l’avait gouté, que ce soit ses lèvres, ses seins, sa fleur, ou son corps tout entier. Au début Ayame était réticente. Les seules caresses de ce genre qu’elle avait ressenti c’était après que son père la battait, quand elle ne pouvait plus bouger ni se défendre et encore moins hurler. Mais petit à petit, avec des mots doux, des promesses, et des caresses légères. La directrice c’était frayé un chemin dans ce cœur sombre. Une relation bien entendu caché de tous. Une relation dont Ayame n’était elle-même pas au courant. Au début elle ne faisait ça que parce qu’elle aimait les sensations que lui procurait le touché de la directrice. Cette directrice pourtant désiré de tous. Elle l’avait choisi elle parmi des centaines d’élèves, et des milliers de prétendants. Ayame se sentait un peu fière. Mais elle ne le montrait pas se contentant de répondre aux avances de sa directrice. Ça avait pris un an. Un an avant qu’elle comprenne qu’en réalité ce n’étais pas que du désir, mais de l’amour qu’elle éprouvait pour la belle aux perles océans. Même si elle était de 6 ans son ainée ça n’avait pas d’importance, le temps n’avait pas d’effet sur sa directrice. C’est ce qu’elle pensait. Elle aurait même pu avoir près de 1000ans que personne n’en aurait rien su. Elle était tellement puissante. Tellement autre, elle venait d’un autre monde. Trop de charme, trop de sensualité, trop irréelle pour être une personne de ce monde. Ayame c’était souvent demandé si la directrice n’était pas une déesse. Mais alors pourquoi serait-elle venue spécialement pour elle… Ayame n’avait rien de spécial. Tout ce qu’elle voulait c’était aire payer aux humains leurs orgueils. Leurs montrer ce qu’était la vrai puissance. Et ça la directrice l’avait vu quand elle l’avait faites évoluer. Mais pourtant elle n’avait rien dit. Elle l’avait laissé faire en continuant de l’aimer de tout son cœur. Jusqu’au jour ou Ayame avait perdu le contrôle. Elle était devenue folle de rage. Des blessures sur tout son corps. Un vrai monstre, elle c’était retourné contre tous les puissants elle voulait juste fuir de ce lycée et détruire ce monde qui l’avait enchainé. Et pour ça, elle allait déjà devoir briser ses premiers liens. La directrice ne l’avait pas arrêté. Elle était folle d’amour pour cette fille qui ne voulait à présent que détruire le monde. Ayame lui avait promis de revenir, et de l’aimer pour l’éternité dans un monde qu’elle aurait elle-même reconstruit de ses mains. Sauf que sur ce coup-là. La confiance qu’avait Ayame en elle-même avait tout simplement mis à mort sa directrice. Cette femme qu’elle aimait et qu’elle aimerait au délà de la mort. Et oui, c’était les règles. Laisser un élève hors de contrôle en vie revenait à se faire tuer si cet élève se retournait contre les omégas. Ayame quanta elle n’avait pas été tuée. Pourtant elle aurait voulu mourir. Parce que c’était de sa faute si la femme de sa vie c’était faites exécuter. Elle lui avait promis de revenir une fois le nouveau monde construit, en détruisant les humains… Mais, tout ça lui avait faites prendre conscience d’autre chose. Ce n’est pas les humains qui méritaient la mort. Mais les Omégas… Non … Personne ne méritait la mort. Elle avait juste était idiote et aveuglé par une vengeance qui venait juste de prendre fin. Elle avait ouvert les yeux. Les omégas ne l’avaient pas tuée. Ils l’avaient formé pour qu’elle prenne la place de son ancienne directrice. Et elle avait accepté, parce qu’elle voulait reprendre le flambeau de la femme de sa vie. Parce qu’elle voulait qu’elle continue à vivre à travers elle. Mais ça n’avait pas duré longtemps. Parce que maintenant elle était dans ses bras. Elle l’entendait murmurer son nom. Tellement doucement, les voix brisée par ses sanglots. Mais pourquoi pleures-tu mon amour, c’est ce qu’aurait voulu dire Ayame. Mais elle ne pouvait toujours pas parler. Elle était toujours trop faible. Alors même la mort ne guérissait pas les blessures physiques… C’est vrai qu’elle sentait encore ses côtes lui lancer atrocement. Que le gout âpre dans sa bouche était revenu et que les brulures sur son corps reprenaient de leurs droits. Mais pourtant elle était bien dans les bras de sa bien-aimée. Elle se sentait tellement perdu. Et tellement bien. Elle n’osait pas bouger par peur que les bras de la personne qu’elle pensait avoir perdu disparaissent. Pourtant elle avait tant à lui dire. Elle voulait tant gouter une nouvelle fois à ses lèvres. Se rappeler des étreintes perdus, malgré a douleurs lancinante dans son corps. Elle voulait articuler quelque chose, dire au moins une fois le prénom de la femme de sa vie. Elle en tremblait presque. Et finalement, elle avait réussi à sortir un son cassé de sa bouche*~ Ki..a..ra….*Kiara. C’était le prénom de son ancienne directrice, de son amante, de la femme de sa vie. Cette femme qui venait à ce moment même d’écarquiller les yeux et de lui faire un sourire des plus craquants. Lui disant qu’elle était la et qu’elle l’aimait. Mais que bientôt elles allaient devoirs se séparer. Parce qu’Ayame avait été très vilaine et qu’elle avait désobéit aux règles et que pour ça elle devrait la punir. Ayame avait du mal à comprendre ce qu’il se passait. Et c’est ainsi que son ange perdu c’était mis à raconter la face cachée de sa disparition. Kiara Misato. Directrice du lycée Miyagawa. Ce n’était qu’une couverture. La réalité c’est qu’elle avait pris ce poste quelque temps parce que l’ancien directeur était mort au combat. Elle n’avait trouvé personne d’assez compétant pour le retrouver, alors elle avait pris sa place jusqu’à ce qu’elle rencontre la perle rare. Ayame Nagazaki, jeune femme brisé par la haine et par la race humaine. Charismatique et d’une puissance inouïe. Mais rapidement Kiara avait déchanté, elle était tombé amoureuse de la jeune Nagazaki sans même essayé de repousser ce sentiment. Pourtant en tant qu’entité supérieur qui contrôlait tout elle n’aurait pas dû. Parce qu’elle allait devoir repartir à un moment ou un autre pour en fin de compte laisser la place à la nouvelle directrice. Il le fallait, c’était inévitable. Personne ne savait que Kiara était celui qu’on appelait « le boss suprême » Il fallait bien qu’elle le cache. Mais elle avait vu la femme qu’elle aimait si faible. Au bord de la mort, ayant fait l’ultime erreur de laisser un élève instable seul, laissant tous les autres élèves à sa merci. Mais Kiara ne pouvait tout simplement pas tuer Ayame. Elle ne pouvait pas non plus la protéger. Parce que son rôle était de rester la haut et de veiller sur tout le monde. Pas d’intervenir. C’était un peu le Dieu des mortels et des Omégas. C’est comme ça qu’elle se voyait en tout cas. Alors, elle venait tout simplement de poser ses lèvres sur celle d’Ayame. Elles avaient entremêlé leurs langues dans un baisé d’amour fou. Surement un des derniers. La nouvelle directrice se sentait apaisée. Ses blessures se refermaient d’elle-même, et une force monstre entrait en elle, en même temps que le fluide du baisé de son amour. De celle qui représentait Dieu. Elle l’avait entièrement guérie. Parce que ce n’étais pas une blague. Ni une rumeur. Le boss suprème avait effectivement tous les pouvoirs. Une sorte de mutation ultime. Ayame avait senti quelque chose de nouveau en elle. Un nouveau souffle de vie. Un nouveau souffle d’espoir. Une nouvelle raison d’être. Elle deviendrait plus forte. Beaucoup plus forte, jusqu’à elle-même atteindre les dieux, et pouvoir enfin vivre avec la femme dont elle rêvait chaque nuit. Kiara lui avait dit qu’elle venait de créer un monstre. Ayame n’avait pas compris tout de suite sur le coup jusqu’à ce qu’elle évoque le nom d’Hayden. Alors comme ça, elle avait créé elle-même l’obstacle de son nouveau rêve.  En mettant fin à la vie du jeune homme. Un jour. Quand il ne serait plus son élève elle atteindrait les dieux, et pourrait enfin vivre avec Kiara. Oui, c’était ça son nouveau rêve. Non, son but. L’ancienne directrice avait dit à Ayame qu’il était temps qu’elles se disent au revoir. Et peut-être à bientôt qui sait. Et dans un dernier baisé elle l’avait renvoyé dans le trou béant qu’était maintenant son bureau. Sans même y réfléchir, la directrice avait remonté le temps à ce niveau-là. Sans même sentir une quelqu’une faiblesse ou autre, elle l’avait reconstruit. Une nouvelle directrice était née.*
Ayame Nagazaki
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